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Les Éperviers retirent leur offre (MISE À JOUR)

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26 avril 2013
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Par Sébastien Lacroix

Le groupe d’actionnaires pour le retour des Éperviers vient de retirer son offre pour faire l’acquisition de la franchise du Rocket de l’Île-du-Prince-Édouard.

C’est ce que vient de confirmer Gaston Therrien, le porte-parole du comité de relance, qui semblait visiblement irrité de ne pas avoir reçu de retour d’appel du commissaire Gilles Courteau, vendredi avant l’heure du dîner.

« Gilles Courteau ne nous a toujours pas appelé. Il m’avait garanti qu’il m’appellerait ce vendredi avant midi, a déploré le co-propriétaire du groupe. Comme il ne nous a pas appelé, nous retirons notre offre. »

Gaston Therrien n’a toutefois pas voulu s’avancer quant à la possibilité que le retour des Éperviers soit compromis. « Ce sont les seuls commentaires pour aujourd’hui, parce que je n’ai toujours pas parlé à Gilles Courteau. On devrait en savoir plus au cours des prochains jour », a-t-il mentionné.

Les investisseurs locaux tentent de sauver la franchise à Charlottetown

Selon ce que rapportait The Guardian, vendredi matin, le groupe d’investisseurs locaux y allaient d'une ultime tentative de garder le Rocket à Charlottetown.

Jusqu’ici la famille Savard aurait trois offres sur la table, dont une qui a été déposé vendredi par Grant Sonier, qui a la ferme intention de garder l’équipe où elle est.

Même s’ils avaient jusqu’à midi pour donner une réponse, Serge Savard Jr a dit à nos collègues du journal The Guardian que la famille Savard se donnait jusqu’à la fin de la journée pour accepter l’offre de la ligue.

Gaston Therrien semble irrité par ce nouveau dénouement dans l’affaire. « C’est leur problème », a-t-il tranché.

Près d’une entente?

Selon ce que rapportait de The Guardian en fin de journée, vendredi, les deux parties étaient près d’une entente.

Une autre rencontre était prévue vers 18h et Trent Birt, le vice-président aux opérations, était optimiste quant aux chances d’en arriver à une entente. « Nous allons nous rencontrer pour décider ce que nous faisons avec la contre-offre. Je crois que nous pourrions avoir un deal aussitôt que 19h, ce soir. », a-t-il confié à notre collègue Jason Malloy.

 

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